La raison d’être

Par les nouveaux récits, nous accompagnons les leaders culturels et les
entreprises dans la révolution écologique à mener pour bâtir une société désirable, juste et respectueuse de la biosphère.

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Un récit de société :
qu'est-ce que c'est
et pourquoi en changer ?

Sans même en avoir conscience, nous vivons dans une bulle. Notre système de valeurs, notre idée du bonheur, notre conception de la réussite… tout ce qui fait le sel du quotidien et le moteur de nos vies vient d’une construction sociale à laquelle nous adhérons et qui est devenue la norme.
 
Aujourd’hui le récit dominant a rendu “normaux” des comportements qui malmènent le vivant, épuisent les ressources et creusent les inégalités : désirer gagner toujours plus d’argent pour surconsommer, se détacher de la nature pour mieux la dominer… c’est le récit d’avant. Il nous appartient d’en écrire un nouveau !

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Êtes-vous un leader culturel ?

Acteurs et actrices des métiers du journalisme, de la création, de la communication, de la publicité, de la production, de la distribution, de l’édition, de la diffusion des contenus sur les médias sociaux, à la télévision, dans la presse… Chacun et chacune a un rôle à jouer dans la transformation de nos imaginaires pour pouvoir changer notre récit de société.
 
Au vu des urgences environnementales et sociales, c’est même une lourde responsabilité qui nous incombe désormais.

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Une société désirable,
à quoi cela ressemble ?

C’est l’environnement souhaitable dans lequel nous pourrions vivre à l’horizon 2050 ! Un nouveau contrat social et naturel aurait infléchi les prévisions pessimistes vers lesquelles la croissance du “business as usual” d’aujourd’hui nous conduit inexorablement.
 
En effet, tous les scénarios prospectifs issus des rapports scientifiques (ADEME, GIEC, IPBES, Haut Conseil pour le Climat, The Shift Project, RTE, Négawatt…) nous parlent d’une société où la sobriété, la coopération et l’entraide sont au coeur des stratégies d’adaptation et de résilience de nos territoires.
 
La société désirable pourrait donc se résumer ainsi : moins de biens, plus de liens !